SNES-FSU 89
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Ah bon ?! Où ça ??
paru le mardi 1er mars 2005
– Prévision d’effectifs : 583 élèves en moins
– Programmation de suppressions de postes : 50
– Collèges avec des effectifs moyens par classe égaux à 28 sur un niveau : 7
– Collèges avec des effectifs moyens par classe égaux ou supérieurs à 24 : 17
– Elèves susceptibles de faire allemand en 6ème : 22% de moins
– Collèges offrant l’option lourde de 6h « découverte professionnelle » en 3ème : 0
– Prévision d’effectifs : 5 élèves en moins (oui : 5 !)
– Programmation de suppressions de postes : 20 (oui : 20 !!!)
– Lycées avec des effectifs moyens par classe égaux à 35 : tous (oui : tous !)
– Elèves de terminales susceptibles de se retrouver dans des groupes de langue vivante dédoublés : 0 (oui : 0 ! Vous aviez vraiment cru que Fillon allait donner les heures TPE aux LV ??)
– Toujours plus d’élèves par classe (l’Yonne a encore cette année le nombre d’élèves par classe le plus élevé de l’académie)
– Une offre de formations de plus en plus réduite (suppressions du BEP bio-service à Joigny, de l’option gestion en 1ère STG à Avallon, ...)
– Des collègues en poste depuis parfois plus de 10 ans dont l’emploi est supprimé, qui se retrouvent en mesure de carte scolaire et auxquels le rectorat propose un poste à cheval sur 2 voire 3 établissements
– 3 postes d’assistantes sociales scolaires sur 12 non pourvus tellement le salaire est attractif
– Des établissements sans infirmière scolaire
– Mise au chômage et non remplacement des aides éducateurs en fin de contrat
Alors ?!
Ça vient ??
Avec les SNES 89, bousculez les élus politiques, l’inspecteur d’académie, le recteur, faîtes entendre vos demandes dans les Conseils d’Administrations, adressez-vous aux parents d’élèves, contactez les média locaux. Il est encore temps d’agir, ensemble, pour demander haut et fort les moyens nécessaires pour que le scénario de la prochaine rentrée scolaire dans notre département ne soit pas celui d’une catastrophe annoncée.
Le SNES s’est adressé aux élus et aux autorités administratives sur les langues vivantes, les fermetures de formations, les suppressions de postes, ... Chacun nous répond qu’il prend bonne note de nos demandes mais ... renvoie à d’autres la responsabilité d’agir !
Avec vous, disons-leur que « les actes, ça urge vraiment ! »