Si les frontières entre partis politiques et syndicats sont désormais étanches, il est difficile de tracer des lignes de démarcation entre syndicats, mouvement social, coordinations, associations d’éducation populaire, etc.
– Pourquoi certains qui s’engagent dans un mouvement social ne ressentent-ils pas le besoin d’une action plus pérenne en adhérant à un syndicat ?
– Qu’est-ce qui fait qu’on choisit de militer dans un syndicat plutôt que dans une association ?
– Les élus et délégués syndicaux sont-ils vraiment un contre-pouvoir ?
– Dotés d’une force de propositions ou juste des contestataires qui disent non à tout ?
Mais aussi :
– faut-il penser comme la direction nationale pour être militants du SNES ?
– N’y a-t-il que de vieux profs barbus au sommet du syndicat ?
Chaque jour (ou presque ...) vous côtoyez des syndiqués, vous l’êtes peut-être vous-même ; mais savez-vous pourquoi des collègues choisissent de s’investir dans l’action militante, ce qu’ils y font, ce qu’ils en attendent, les limites qu’ils se fixent ?
Le SNES-FSU 89 vous invite à interpeller Claudie Martens, l’une des 4 co-secrétaires généraux du SNES-FSU sur l’avenir du syndicalisme, l’engagement syndical, le rôle et les actions des élus et délégués du personnel SNES-FSU.
2 mois avant les élections professionnelles du 6 décembre 2005, titiller un dirigeant national du SNES peut aider à guider votre vote, non ?