2 avril 2006

Départements

Journée dite « de solidarité » (lire l’article)

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Journée dite « de solidarité » 2005

Actions, bilan et témoignages :
 Le lundi de Pentecôte, refusez le retour de la corvée !
 Lundi 16 mai : jour foiré !
 Journée de solidarité : bilan et interrogations...

Journée dite « de solidarité » 2006

Le nouveau cadre réglementaire :
 L’arrêté et la note de service publiés au B.O.E.N. n°43 du 24/11/05
 Attention, la circulaire n°2103 du 27 septembre 2005 relative à l’organisation de la journée de solidarité dans la fonction publique de l’Etat au titre de l’année 2006 précise que pour les agents à temps partiel, la journée de solidarité est proratisée par rapport à la quotité de leur temps de travail (un personnel à mi-temps ne doit donc qu’une demi-journée de solidarité).

Quelles modalités d’action ?
 La date de la journée de solidarité « le cas échéant fractionnée en deux demi-journées » est déterminée par le chef d’établissement, « après consultation des équipes pédagogiques » : contester par conséquent toute imposition autoritaire par le chef d’établissement des dates retenues.
 Organiser une heure mensuelle d’information syndicale au cours de cette journée (ou de ces deux demi-journées si elles ont été fixées sur des mois différents).
 Débattre collectivement du contenu de cette journée : dans certains établissements, il a été convenu qu’elle ne serait pas exclusivement consacrée au projet d’établissement ; cette journée pourrait ainsi être consacrée au moins en partie à la préparation de nos cours, la correction de nos copies... qui font bien partie de notre travail !
 Signer une pétition, imitée par exemple de celle du collège de Chagny, et l’adresser au Ministre de la Fonction Publique et au Premier Ministre.

Fédération Syndicale Unitaire